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Insectes et Arthropodes

Blattes (cafards) – punaises de lit – puces – mouches et moucherons – moustiques – guêpes et frelons – chenilles processionnaires – fourmis – insectes des denrées alimentaires – araignées  – gale et acariens – insectes volants – DEIV – insectes rampants – insectes du bois.

Pour toute demande, prenez contact avec nos filiales via notre formulaire de contact, nous saurons vous conseiller et vous orienter.

Blattes (cafards)

 

Les blattes inspirent le dégoût et la répulsion, affectant le bien-être, la santé et l’image de marque des établissements. Leur présence constitue une menace sanitaire, car elles contaminent les denrées alimentaires, souillent les surfaces, dégradent divers matériaux, provoquent des pannes et génèrent une nuisance simplement par leur apparition.

Parmi la vingtaine d’espèces recensées en France, seules quelques-unes, introduites, sont capables de survivre et de proliférer dans nos environnements intérieurs. Les principales espèces concernées sont :

  • La blatte germanique (Blattella germanica)
  • La blatte orientale (Blatta orientalis)
  • La blatte américaine (Periplaneta americana)
  • La blatte à bandes brunes (Supella longipalpa), également appelée blatte rayée ou blatte des meubles.

Ces insectes prolifèrent rapidement dans des milieux chauds et humides tels que les cuisines, chaufferies, vestiaires, locaux de stockage des ordures et égouts.
Lucifuges (fuyant la lumière), elles se regroupent généralement à proximité d’un point d’eau.

 

Où trouve-t-on les blattes ?

 

Dans l’habitat, elles colonisent en priorité :

  • Les pièces d’eau : cuisines, salles de bain, WC
  • Les zones de stockage des ordures
  • Les vides sanitaires et gaines techniques

 

Dans les environnements professionnels, elles sont fréquemment présentes dans :

  • Les lieux d’hébergement (hôtels, logements collectifs…)
  • La restauration et les commerces alimentaires
  • Les hôpitaux et établissements de santé
  • Les industries

 

Elles apprécient particulièrement les cuisines, les zones de préparation des aliments, les réserves, les sous-sols, les locaux techniques, les vestiaires et les zones de stockage des déchets.

 

Un régime alimentaire varié

Totalement polyphages, les blattes consomment une grande variété de matières : aliments et déchets, graisses, papier, débris végétaux, et bien plus encore.

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Le saviez vous ?

Contrairement aux idées reçues, la présence de blattes n’est pas forcément liée à un manque d’hygiène !

Elles peuvent s’introduire dans tous types de locaux, quel que soit leur état sanitaire, et survivre avec très peu de ressources.

Ces insectes opportunistes se nourrissent de minuscules résidus alimentaires, peuvent s’infiltrer dans les placards et s’installer même dans des lieux parfaitement entretenus, simplement pour s’abriter ou trouver une source d’eau, notamment le long des canalisations.

En revanche, ne pas les traiter et les laisser proliférer traduit souvent un manque de vigilance et peut entraîner une infestation difficile à contrôler.

Prévention et lutte contre les Blattes

 

Lutte :

 

En cas de présence avérée ou de forte suspicion, un protocole de lutte curative peut être mis en place selon les modalités suivantes :

 

Infestation faible à modérée ou localisée :

 

Le traitement est réalisé avec un gel insecticide adapté. Ce produit, sous forme d’un appât en gel attractif, contient une substance active agissant après ingestion. Il est appliqué aux endroits stratégiques (points de rassemblement et de passage des blattes, zones humides, canalisations et siphons, dessous d’éviers, boîtiers…) sous forme de petits points à l’aide d’un pistolet extrudeur.

Dans certaines conditions, ce procédé favorise la contamination des congénères par cannibalisme, un comportement fréquent chez les blattes, entraînant ainsi une mortalité amplifiée et l’élimination complète de la population. Le produit est efficace sur tous les stades de développement, des juvéniles aux adultes.

En fonction des conditions d’application, il peut rester actif pendant plusieurs mois. AVIpur sélectionne des gels reconnus pour leur attractivité et leur efficacité afin de garantir des résultats optimaux.

L’application du gel nécessite peu de préparation et n’entraîne aucune gêne pour les occupants. Inodore et sans dispersion, il peut être complété par l’installation de pièges.

 

Infestation forte et généralisée :

 

Dans les cas de forte infestation, diffuse ou étendue, un traitement par insecticide de contact sera mis en place. Selon la localisation des insectes et les caractéristiques de la zone à traiter, l’application sera effectuée par pulvérisation ou nébulisation d’insecticides autorisés pour cet usage. Cette intervention sera réalisée dans le strict respect des règles de sécurité ainsi que des préconisations et précautions d’emploi. L’efficacité est immédiate.

AVIpur sélectionne les insecticides les plus performants en privilégiant les produits biologiques ou naturels afin de minimiser les risques pour les espèces non-cibles et l’environnement.

Après le traitement et l’élimination de la population, les gels et dispositifs de capture pourront être réutilisés pour assurer une surveillance et éviter toute réinfestation.

Pour toute demande, contactez nos filiales via notre formulaire de contact nous saurons vous conseiller et vous orienter.

 

Nos offres blattes

 

Tous nos programmes de prévention et de lutte contre les blattes sont conçus en fonction de votre activité et de ses exigences spécifiques. Ils reposent sur une analyse approfondie des dangers et des risques potentiels :

  • Sanitaires (pollution, contamination)
  • Matériels (détérioration, dégradation)
  • Image de marque

Nous intégrons également les aspects réglementaires, la sécurité et la santé des personnes, ainsi que la protection des biens, de l’environnement et de la biodiversité. Les solutions mises en place répondent rigoureusement à l’ensemble de ces exigences pour une efficacité optimale.

Pour toute information, contactez nos filiales via notre formulaire de contact.

 

Les blattes de jardin (Ectobius spp.) pénètrent fréquemment dans les bâtiments du printemps à l’automne et sont souvent confondues avec les blattes domestiques.

Attirées par la lumière en soirée, elles ne peuvent cependant ni s’installer durablement ni se reproduire à l’intérieur. En cas de doute, nos techniciens sont à votre disposition pour les identifier et vous conseiller.

N’hésitez pas à nous contacter !

Punaise de lit (Cimex lectularius)

 

La punaise de lit est un insecte hématophage qui parasite l’homme. À tous les stades de son développement, elle se nourrit en piquant son hôte pendant les périodes de repos et de sommeil. Quelques heures après la piqûre, un bouton apparaît, accompagné de démangeaisons et d’une réaction cutanée plus ou moins sévère. Le grattage peut entraîner une gêne importante et, dans certains cas, provoquer une surinfection. Chez les personnes les plus sensibles, la réaction cutanée peut s’étendre à l’ensemble du corps.

Depuis son retour en force au milieu des années 90, la punaise de lit ne cesse de gagner du terrain et a colonisé tous les endroits fréquentés par l’homme : l’habitat, les hôtels, les lieux d’hébergement, les écoles, les salles de spectacle, les transports en commun…

Très peu mobile, elle se dissémine par les vêtements, les valises, les objets…et sa venue est imprévisible.  Elle affecte tous les milieux et sans distinction toutes les classes sociales.

Sa résistance au jeûne est exceptionnelle. Elle peut rester plus de six mois sans se nourrir. Elle fuit la lumière et reste cachée l’essentiel de sa vie dans les fentes et les anfractuosités d’où elle ne sort que pour piquer.

Les signes de présence sont les piqûres mais également les traces de sang laissées sur la literie, ses excréments (petites taches noirâtres, ainsi que les exuvies et les œufs déposés dans les refuges où elles se regroupent.

Très discrète, sa présence n’est le plus souvent décelée que lorsque l’infestation est importante. Inféodée aux abords des lits et des fauteuils lorsqu’elle colonise son milieu elle finit par occuper les moindres interstices éloignés de plusieurs mètres de son lieu de nourrissage.

 

Prévention

 

Compte tenu de sa biologie et de son mode de propagation, il n’existe pas de prévention absolue contre la punaise de lit. Cependant, quelques précautions permettent de limiter les risques :

  •  Soyez vigilants lors de vos déplacements et inspectez soigneusement la literie en arrivant dans un nouvel environnement.
  •  Examinez vos bagages et effets personnels avant de les ranger à votre retour de voyage.
  • Vérifiez minutieusement vos achats d’occasion et lavez les vêtements à 60°C ou passez-les à la vapeur avant de les introduire chez vous.
  •  Inspectez régulièrement votre literie.
  •  Passez soigneusement l’aspirateur sur les sommiers, matelas, fauteuils et canapés.
  •  Réagissez rapidement au moindre signe d’infestation.

 

En cas de suspicion, une intervention rapide est essentielle pour éviter une prolifération.

 

La recrudescence des punaises de lit observée ces dernières années s’explique en partie par l’augmentation des voyages et du commerce d’objets d’occasion, ainsi que par l’apparition croissante de résistances aux insecticides.

Nos offres Punaise de lit

 

Tous nos programmes de lutte et de détection contre les punaises de lit sont conçus en fonction de votre activité et des exigences spécifiques associées.

Ils reposent sur une analyse des dangers et des risques (sanitaires, pollution, contamination, détérioration, dégradation, image de marque, etc.), tout en tenant compte des aspects réglementaires, de la sécurité et de la santé des personnes, ainsi que de la protection des biens, de l’environnement et de la biodiversité.

Les solutions mises en place répondent à l’ensemble de ces critères.

Pour toute information, contactez nos filiales via notre formulaire de contact.

 

Détection :

 

La détection des punaises de lit est principalement visuelle et consiste à rechercher des indices de présence, tels que des insectes vivants ou morts, des taches de sang, des déjections, des œufs et des exuvies. Les zones à privilégier pour cette inspection sont les matelas, les sommiers, les têtes et encadrements de lits, ainsi que les plinthes.

Dans les hôtels et lieux d’hébergement, il est essentiel d’inspecter minutieusement la literie et de savoir identifier les traces caractéristiques.

Il est également possible d’utiliser des pièges. Il existe divers types de pièges, dont l’efficacité dépend des modes d’action et de leur bon positionnement.

En cas de suspicion, des kits de détection peuvent également être utilisés pour confirmer la présence de punaises de lit.

Cependant, la méthode de détection la plus performante à ce jour reste la détection canine.

Pour tout renseignements sur ces différents moyens, contactez-nous via notre formulaire de contact nous saurons vous conseiller et vous orienter.

 

Traitements :

 

En fonction de la nature des lieux et du niveau d’infestation, nous proposons différentes approches curatives adaptées.

  • Traitement insecticide : utilisation d’insecticides chimiques ou biologiques, selon les besoins.
  • Traitement thermique : recours à la vapeur ou à la cryogénie pour éliminer les punaises de lit.
  • Approche combinée : combinaison de traitements thermiques et d’insecticides pour une efficacité optimale.
  • Contrôles complémentaires : mise en œuvre de moyens de détection précédemment évoqués pour assurer un suivi rigoureux.

 

Nos méthodes et produits sont soigneusement sélectionnés et appliqués en fonction de leur efficacité prouvée, tout en minimisant les désagréments liés à leur utilisation et en tenant compte des contraintes spécifiques de chaque intervention.

Pour toute information sur nos différents protocoles vous pouvez nous contacter via notre formulaire de contact.

 

Puces

 

Les puces sont des insectes ectoparasites qui infestent les mammifères (y compris l’homme) et les oiseaux. À l’état adulte, elles se nourrissent de sang en piquant leur hôte. Elles peuvent se déplacer facilement d’un animal à un autre, ce qui leur permet de véhiculer diverses maladies, qu’elles soient animales, humaines ou zoonotiques.
Les puces peuvent également provoquer des allergies.

En France, plusieurs espèces existent, mais près de 90 % des cas sont liés à la puce du chat (Ctenocephalides felis). Cette espèce peut infester de nombreux mammifères (chat, chien, lapin, furet, ruminants et homme). L’adulte vit, se nourrit et pond sur son hôte. L’œuf, qui n’est pas fixé, tombe au sol, et la larve se développe en se nourrissant de microparticules organiques et d’excréments des puces adultes. À la fin de sa croissance, la larve se construit un cocon dans lequel se déroule la métamorphose.
Une fois le cycle de développement terminé, l’adulte reste dans le cocon et n’en sort que sous l’effet des vibrations causées par le passage d’un hôte.

 

Prévention

 

La prévention des puces repose sur les actions suivantes :

  • Détection précoce : surveillez attentivement vos animaux domestiques.
  • Nettoyage rigoureux : dès l’apparition des puces, procédez à un nettoyage minutieux et à l’aspiration des zones fréquentées par vos animaux.
  • Traitement des animaux : utilisez un produit vétérinaire adapté pour traiter les puces sur vos animaux.
  • Nettoyage des accessoires : aspirez, lavez et passez à la vapeur les niches, abris, coussins, tissus et tout autre lieu fréquenté par les animaux.
  • Aspiration des surfaces : aspirez minutieusement les tapis, moquettes et parquets où les larves peuvent se développer.
  • Entretien de l’aspirateur : remplacez et jetez les sacs de l’aspirateur au moins une fois par semaine, puis nettoyez l’aspirateur après chaque utilisation.

 

Traitement

 

En raison du cycle de développement des puces, il est nécessaire de renouveler périodiquement le traitement avec des insecticides biologiques et chimiques pendant une période de un à deux mois.
Ce traitement peut être complété par l’utilisation de la vapeur pour désinfecter les tapis, moquettes, fauteuils, canapés et autres surfaces.
Le traitement doit couvrir l’ensemble des lieux fréquentés par les animaux domestiques, y compris les espaces extérieurs et les locaux annexes (vides sanitaires, abris de jardin, etc.).

Nos offres Puce

 

Nos programmes de lutte et de détection contre les puces sont adaptés à votre activité et à ses exigences spécifiques.

Ils sont élaborés sur la base d’une analyse des dangers et des risques (risques sanitaires, pollution, contamination, détérioration, dégradation, image de marque, etc.), en tenant compte des aspects réglementaires, de la sécurité et de la santé des personnes, ainsi que de la protection des biens, de l’environnement et de la biodiversité.

Les méthodes et produits utilisés répondent à toutes ces exigences.

Pour toute information, prenez contact avec nos filiales via notre formulaire de contact.

 

Mythe ou réalité ?

 

Lorsque je suis rentré dans une pièce inoccupée depuis plusieurs mois, des milliers de puces se sont jetées sur mes jambes !

Ce phénomène est en réalité fréquent et lié au cycle de développement des puces et aux conditions de leur émergence.

L’adulte peut rester en état d’inactivité (diapause) dans le cocon nymphal pendant plusieurs semaines, voire jusqu’à un an. Sa durée de survie moyenne est d’environ 150 jours.

La diapause est levée par des conditions favorables et des stimuli mécaniques, comme des chocs ou les vibrations du sol causées par le passage d’un hôte.

Ainsi, l’entrée dans un local inoccupé depuis un certain temps provoque immédiatement l’émergence des adultes, expliquant cette pullulation soudaine et massive de puces affamées !

Contrairement à une idée répandue, les puces se développent aussi à l’extérieur. En cas d’infestation il faudra également prendre en compte les abords de bâtiments, les vides sanitaires, les terrasses et tous les endroits fréquentés par les animaux.

 

Mouches et moucherons

 

Les mouches et les moucherons sont des insectes très mobiles fréquentant principalement des matières en fermentation, en décomposition ou souillés. Elles peuvent véhiculer de nombreux microorganismes.

Plus de 100 pathogènes ont été relevés sur les mouches, parmi lesquels les germes responsables des salmonelloses, d’hépatites, de dysenteries, d’infections gastro-intestinales, de la tuberculose… de moisissures, de vers parasites…

Leur rôle écologique est essentiel dans le milieu naturel en participant à la décomposition et au recyclage de la matière organique, en pollinisant, en servant de proies à beaucoup de prédateurs insectivores…mais leur présence dans les locaux impacte le bien être, la santé et l’image de marque en générant un sentiment de dégoût. Leurs larves, asticots, répugnent.

Beaucoup d’espèces s’introduisent pour rechercher des supports alimentaires ou des supports de ponte…et peuvent proliférer rapidement.

Leur cycle de développement est rapide et la fécondité peut avoisiner un millier d’œufs conférant aux mouches et aux moucherons un redoutable pouvoir invasif.

 

Mouches domestiques

Visuel – 5-8 mm  – Thorax avec 4 lignes noires – Yeux brun-rouges – Abdomen jaune sur les flancs et le dos, gris sur la face ventrale.

Fécondité : jusqu’à 1000 œufs par femelle. – Durée minimum du développement 10j – Se développe sur les matières organiques en décomposition ; cadavres, détritus alimentaires, excréments…

Durée de vie adulte 20-30j.

 

Mouches Bleues

Visuel – 8-14 mm – Couleur noire à reflets métalliques bleus – Yeux brun-rouges – Corps hérissé de fortes soies.

Fécondité : 500 œufs par femelle – Durée minimum du développement : 12j – Pond et se développe sur  les cadavres, les résidus alimentaires carnés, les excréments.

Durée de vie adulte 15-25 jours, plus en hiver.

 

Drosophile

Visuel – 2-4 mm – Couleur jaune à brune – Yeux rouges.

Fécondité : 1000-3000 œufs par femelle – Durée minimum du développement : 10j.

Les drosophiles se développent dans la matière organique en fermentation et décomposition : fruits mûrs, végétaux en décomposition, compost…

Durée de vie adulte 30 j max.

 

Psychode (mouche des éviers)

Visuel – 2-3 mm – Couleur grise – Corps et ailes duveteux – Antennes longues.

Fécondité : 200 œufs par femelle – Durée minimum du cycle de développement : 20-30 jours.

Les psychodes pondent et se développent dans les eaux chargées en matières organiques, siphons, canalisation d’eaux usées.

 

 

Prévention

 

La prévention des infestations de mouches et de moucherons repose sur des mesures d’herméticité et un entretien rigoureux des locaux :

  • Assurer l’étanchéité des locaux
  • Effectuer un nettoyage et un assainissement réguliers des écoulements
  • Mettre en place une gestion stricte des déchets
  • Protéger les denrées alimentaires

 

Traitements : 

 

  • Installer des pièges attractifs, à l’intérieur et/ou à l’extérieur
  • Appliquer des traitements insecticides
  • Installer et entretenir des dispositifs d’élimination des insectes volants (DEIV) (voir le chapitre dédié)

Pour toute information, contactez nos filiales via notre formulaire de contact.

 

Nos offres Mouches et moucherons

 

Nos programmes de lutte et de détection contre les mouches et moucherons sont adaptés à votre activité et aux exigences spécifiques associées.

Ils sont élaborés sur la base d’une analyse approfondie des dangers et des risques (risques sanitaires, pollution, contamination, détérioration, impact sur l’image de marque, etc.), tout en prenant en compte les aspects réglementaires, la sécurité et la santé des personnes, la protection des biens, ainsi que la préservation de l’environnement et de la biodiversité.

Les solutions mises en œuvre sont conçues pour répondre efficacement à l’ensemble de ces critères.

Pour toute information, prenez contact avec nos filiales via notre formulaire de contact.

 

Lutte : nos programmes de lutte intégrée

Une offre complète et ciblée respectueuse de l’environnement et de la biodiversité.

 

Prévention :

 

  • Limiter les gîtes de développement des larves en supprimant les points d’eau stagnante : pots de fleurs, gouttières, réserves artificielles ou naturelles, terrasses, objets divers (vieux pneus, bouteilles, boites de conserves…), vides sanitaires… 
  • Pose de moustiquaires sur les ouvrants (portes, fenêtres, aérations).
  • Accompagnement et conseils par nos experts formés.

 

Sur les larves

 

  • Dès le début du printemps (toute l’année dans les endroits tempérés : vides sanitaires, réserves d’eau…).
  • Traitement larvicide biologique (Bacillus thuringiensis). Sans danger pour les espèces non-cibles.
  • Traitement Physique (film de surface). 
  • Fréquence : une fois par mois.

 

Sur les adultes

 

  • Dès le début du printemps.
  • Installation de Pièges pondoirs à contrôler tous les mois. Efficaces et sélectifs, sans impact sur la faune non-cible.
  • Installation de pièges à moustiques adultes (BIOGENTS) à contrôler et entretenir une fois par mois. Efficaces et sélectifs, sans effets sur la faune non-cible.
  • Traitement insecticide des lieux de repos des moustiques (auvents, vides sanitaires, abris…). À renouveler 2 fois pendant la saison.
  • Installation de nichoirs à chauve-souris et hirondelles.

Pour toute information, prenez contact avec nos techniciens via notre formulaire de contact.

Fourmis

 

Les fourmis sont des insectes sociaux formant des colonies plus ou moins vastes.

Certaines espèces envahissantes peuvent s’installer dans les locaux et être à l’origine de gênes ou de dégâts importants sur les denrées ou les matériaux (bois, plâtres, isolants, emballages, circuits électriques…).

Elles peuvent alors impacter négativement l’activité, la production, les infrastructures ou la fréquentation, générant parfois une image négative.

Le traitement contre les fourmis fait appel à des techniques de piégeage ou des insecticides ciblés sous forme d’appâts, de gel ou de liquides à pulvériser.

 

Nos offres Fourmis

 

Nos programmes de lutte sont adaptés à votre environnement, à votre activité et aux exigences spécifiques qui y sont associées.

Ils sont élaborés sur la base d’une analyse approfondie des dangers et des risques (sanitaires, pollution, contamination, détérioration, dégradation, impact sur l’image de marque, etc.), tout en prenant en compte les exigences réglementaires, ainsi que la sécurité et la santé des personnes, la protection des biens, de l’environnement et de la biodiversité.

Les solutions mises en place répondent pleinement à l’ensemble de ces critères.

Pour toute information, contactez nos filiales via notre formulaire de contact.

 

 

 

Guêpes et Frelons

 

Les guêpes et les frelons sont des hyménoptères sociaux à colonie annuelle.

La colonie démarre au printemps, dès la sortie d’hibernation des femelles fondatrices.

Les anciens nids ne sont pas réutilisés.

Selon les espèces et les opportunités, les nids peuvent être aériens, suspendus dans un arbre ou un buisson, sur une poutre, accrochés à un rocher ou contre un mur, ou installés dans une cavité naturelle (enterrés) ou un espace artificiel (construction, charpente, compteur, etc.).

Ils sont constitués de pâte à papier obtenue par l’insecte à partir d’écorces, de feuillages ou de bois mâchés, mélangés à la salive. La taille et la forme du nid varient en fonction de l’espèce et de l’espace occupé.

Pendant toute la belle saison, la reine produit des ouvrières qui se chargent de la construction du nid et de l’élevage des larves. À la fin de l’été, les individus sexués (mâles et femelles fertiles) apparaissent et s’accouplent.

Avec l’hiver et les premières gelées, la colonie disparaît et le nid n’est plus entretenu. Seules les femelles fécondées (futures reines) rentrent en diapause dans divers abris.

Les guêpes et les frelons dérangent et inquiètent en raison de leurs piqûres. Les piqûres simples sont généralement sans conséquences graves, tout dépend de leur localisation.

Toutefois, tout le monde ne réagit pas de la même manière, et les réactions allergiques peuvent être très violentes, entraînant des complications, voire étant mortelles. Il en va de même pour les piqûres multiples.

Pour ces raisons, les guêpes et les frelons sont particulièrement redoutés dans des environnements fréquentés par des enfants, des personnes âgées ou malades.

 

Prévention :

 

Les mesures de prévention visent principalement à limiter les possibilités d’installation des nids à proximité des habitations et des lieux fréquentés par les personnes.

Il est important d’agir dès les premiers signes d’activité au début du printemps.

 

Traitements :

 

Le traitement des guêpes et frelons fait appel à plusieurs moyens :

  • Installation et entretien de pièges en extérieur
  • Destruction des nids
  • Traitements insecticides ciblés des lieux de rassemblement
  • Installation de dispositifs de protection contre les insectes volants (DEIV) en intérieur

Particularités du frelon asiatique (Vespa velutina nigrithorax)


Le frelon asiatique est plus petit et plus sombre que le frelon européen.

Il ne présente pas de teinte rousse.

Contrairement à une croyance répandue, sa piqûre n’est pas plus dangereuse que celle des autres espèces.

Apparu en France en 2004, il a rapidement colonisé le territoire.

Il est désormais présent dans presque toute la France et a même franchi les frontières.

Au printemps, lors de l’établissement de la colonie, la reine construit seule un petit nid et s’occupe de l’élevage des larves.

C’est le nid « primaire ». À partir de juin, lorsque la colonie a grandi, elle « déménage » pour construire le nid définitif.

La reine ne s’occupe plus que de pondre, les ouvrières étant suffisamment nombreuses pour assurer la construction, l’entretien et la recherche de nourriture.

À son apogée, au milieu de l’été, la colonie peut compter plus de 2 000 individus.

 

Nos offres Guêpes et Frelons

 

Nos programmes de lutte contre les guêpes et les frelons sont conçus en fonction de votre environnement, de votre activité et des exigences spécifiques qui y sont liées.

Ils reposent sur une analyse approfondie des dangers et des risques (sanitaires, pollution, contamination, détérioration, dégradation, image de marque, etc.), tout en prenant en compte les aspects réglementaires, la sécurité et la santé des personnes, ainsi que la protection des biens, de l’environnement et de la biodiversité.

Les solutions que nous mettons en œuvre répondent pleinement à l’ensemble de ces critères.

Pour toute information, prenez contact avec nos techniciens via notre formulaire de contact.

 

Chenilles processionnaires (Thaumetopoea pityocampa)

 

La chenille processionnaire du pin est la larve d’un petit papillon de nuit, commun dans une grande partie de la France, présent en été de fin juin à fin août selon les localités.

L’espèce présente la particularité de se développer dans des nids (cocons collectifs) abritant les chenilles issues d’une ponte, jusqu’à 200 individus. Les chenilles se développent à partir de septembre pendant une grande partie de l’hiver en se nourrissant des aiguilles de pins, parfois de sapins ou de cèdres. Les chenilles sont actives la nuit.

À la fin de leur développement, les chenilles quittent le nid et descendent de l’arbre en procession pour s’enterrer à proximité et se métamorphoser. Le papillon émerge après quelques semaines entre juin et août. 

Selon les localités et les conditions climatiques, la descente des chenilles peut démarrer dès le mois de décembre et s’étaler jusqu’en avril.

 

Outre les dégâts occasionnés sur les arbres, particulièrement dévastateurs dans les pépinières et les plantations jeunes, les chenilles sont fortement urticantes pour l’homme et les animaux domestiques.

Selon la localisation et la sensibilité, l’urticaire peut évoluer jusqu’à engendrer des nécroses sévères ou de graves complications oculaires.

En cas d’ingestion ou d’inhalation les conséquences peuvent être très graves (troubles respiratoires, troubles œsophagiens…).

Les nids contenant de nombreux poils sont urticants jusqu’à plusieurs semaines après le départ des chenilles. Les risques sont également présents sous ou à proximité des arbres infestés.

 

Prévention :

 

Les arrivées de papillons et la colonisation des arbres sont imprévisibles.

Dans les zones particulièrement infestées, les sylviculteurs font preuve de vigilance et mettent en place des actions de lutte collective dès la période de vol des papillons afin de limiter les pontes.

Dans les lieux privés ou fréquentés par le public, les mesures de prévention visent principalement à réduire les risques d’urticaires en évitant de manipuler les chenilles et les nids, même s’ils sont tombés au sol, et en intervenant rapidement dès les premiers signes d’infestation des arbres.

 

Traitements :

 

Le traitement des chenilles processionnaires fait appel à plusieurs méthodes en fonction du stade de développement et de la période de l’année :

  • Installation et entretien de pièges à chenilles : capture des chenilles lors de leur descente.
  • Destruction des nids (échenillage).
  • Traitements insecticides biologiques des arbres infestés.
  • Capture des papillons à l’aide de pièges à phéromones.
  • Confusion sexuelle durant la période de vol.
  • Installation de nichoirs à prédateurs.

 

Nos offres Processionnaires

 

Nos programmes de lutte contre les processionnaires du pin sont adaptés à votre environnement, à votre activité et aux exigences spécifiques qui y sont associées.

Ils sont élaborés sur la base d’une analyse approfondie des dangers et des risques (sanitaires, pollution, contamination, détérioration, dégradation, impact sur l’image de marque, etc.), tout en prenant en compte les exigences réglementaires, ainsi que la sécurité et la santé des personnes, la protection des biens, de l’environnement et de la biodiversité.

Les solutions mises en place répondent pleinement à l’ensemble de ces critères.

Pour toute information, contactez nos filiales via notre formulaire de contact.

Pour les chenilles processionnaires du chêne ou toute autre espèce de chenille défoliatrice, contactez nos filiales via notre formulaire de contact.

Insectes des denrées alimentaires

 

Les insectes des denrées alimentaires infestent aussi bien les sites de production des denrées que les magasins, les entrepôts, les restaurants, les cantines, ainsi que les réserves, placards et cuisines des consommateurs.

Il existe une multitude d’espèces, dont les plus fréquentes sont :

  • Les mites ou teignes alimentaires (principalement les genres Plodia et Ephestia)
  • Les ténébrions et tribolium (coléoptères Ténebrionidés)
  • Les vrillettes et les silvains
  • Les charançons
  • Les dermestes (genres Anthrenus, Trogoderma, Attagenus, Dermestes, etc.)

Quelques exemples visuels des principales espèces : teigne des fruits secs, teigne de la farine, tribolium, vrillette du pain.

La grande majorité de ces espèces sont nuisibles au stade larvaire. Elles attaquent les denrées, les souillent et les rendent impropres à la consommation. Beaucoup d’entre elles sont capables de perforer les emballages et peuvent donc pénétrer dans les produits conditionnés.

 

Prévention

 

La prévention consiste, en premier lieu, à inspecter minutieusement les denrées alimentaires et leurs emballages afin de détecter toute trace de présence d’insectes. Les produits suspectés doivent être éliminés sans délai.

Il est également important de supprimer toute accumulation de produits ou de résidus alimentaires afin de limiter les possibilités de développement.

Sur les sites de production ou de stockage, nos équipes formées sont capables de réaliser des analyses complètes et de fournir des conseils ou des actions adaptées pour limiter les risques d’intrusion ou de développement d’insectes.

Nous utilisons également et proposons des dispositifs de détection précoce facilitant la gestion en cas de présence.

Moyen de lutte :

 

  • Monitoring (pièges à phéromones) : Pour certaines espèces (mites, tribolium, vrillettes, nécrobie, etc.), il existe des pièges spécifiques utilisant des phéromones sexuelles pour permettre la détection précoce ou le contrôle des populations.
  • Confusion sexuelle : Cette technique est principalement utilisée pour les espèces volantes (mites et teignes). Elle consiste à saturer l’espace avec des phéromones sexuelles, empêchant ainsi la rencontre des sexes et les accouplements. Cela entraîne une réduction de la reproduction jusqu’à la disparition totale de la population.
  • Traitement insecticide : Les insecticides biologiques ou chimiques permettent de réaliser des traitements ciblés et localisés en cas de présence avérée.
  • Traitement thermique : Cette méthode utilise des dispositifs de chauffe (les insectes meurent au-dessus de 55°C) ou de froid négatif pour détruire tous les stades de développement des insectes.
  • Traitement par parasites : Il s’agit d’une technique innovante, relativement répandue en agriculture biologique, qui consiste à éliminer le nuisible par l’introduction de son parasite. Cette méthode implique un fort engagement du site concerné et nécessite plusieurs générations de nuisibles pour obtenir des résultats.

 

Nos offres Insectes des produits stockés

 

Nos programmes de lutte contre les insectes des produits stockés sont conçus en fonction de l’espèce concernée, de votre environnement, de votre activité et des exigences spécifiques qui y sont associées.

Ils reposent sur une analyse approfondie des dangers et des risques (sanitaires, pollution, contamination, détérioration, dégradation, impact sur l’image de marque, etc.), tout en prenant en compte les aspects réglementaires, la sécurité et la santé des personnes, ainsi que la protection des biens, de l’environnement et de la biodiversité.

Les solutions mises en place répondent pleinement à l’ensemble de ces critères.

Pour toute information, contactez nos filiales via notre formulaire de contact.

Araignées 

 

Bien que souvent considérées comme des insectes, les araignées sont en réalité des arachnides.

À l’instar des insectes, elles appartiennent à l’embranchement des arthropodes (qui se caractérisent par un exosquelette), mais se distinguent notamment par leur corps composé de deux régions (contre trois chez les insectes) : le céphalothorax, qui porte les yeux, les pièces buccales et les pattes, et l’abdomen. Elles possèdent huit pattes.

Les araignées ne possèdent ni antennes, ni ailes, et leur développement est amétabole : les jeunes issus des œufs sont identiques aux adultes et adoptent un mode de vie similaire.

On connaît près de 48 000 espèces à travers le monde (dont 1 700 en France).

Toutes sont aériennes, à l’exception de l’argyronète, qui vit sous l’eau dans une bulle d’air. Les araignées sont exclusivement prédatrices (une seule espèce est connue pour être phytophage) et se nourrissent principalement d’insectes et de petits arthropodes.

Malgré leur mauvaise réputation, les araignées sont plutôt utiles.

Cependant, leur présence dans les locaux peut causer des désagréments : elle peut affecter l’activité, nuire à l’image de marque et polluer les denrées. Les toiles créent une impression de négligence ou de mauvaises conditions d’hygiène, en retenant la poussière et les débris.

 

Prévention :

 

Les principales mesures de prévention consistent à limiter les intrusions et la propagation des araignées, notamment par des mesures d’étanchéité et de confinement, ainsi qu’à réduire au maximum leurs ressources alimentaires en maîtrisant les populations d’insectes et d’autres arthropodes.

 

Traitement :

 

Les araignées sont principalement traitées par pulvérisation ou nébulisation d’insecticides sur les zones où elles s’installent.

L’efficacité du traitement dépend en partie de leur mobilité, car la plupart des espèces restent dans leur cachette et ne sortent que pour se nourrir.

La destruction des toiles actives pousse les araignées à se déplacer, ce qui augmente l’efficacité des traitements.

Pour cette raison, AVIpur peut proposer des actions de retrait des toiles avant d’effectuer les traitements.

Nos offres Araignées

 

Nos programmes de lutte contre les araignées sont conçus en fonction de leur localisation, de votre environnement, de votre activité et des exigences spécifiques associées.

Ils sont élaborés sur la base d’une analyse approfondie des dangers et des risques (sanitaires, pollution, contamination, détérioration, dégradation, impact sur l’image de marque, etc.), tout en prenant en compte les aspects réglementaires, ainsi que la sécurité et la santé des personnes, la protection des biens, de l’environnement et de la biodiversité.

Les solutions mises en place répondent pleinement à l’ensemble de ces critères..

Pour toute information, contactez nos filiales via notre formulaire de contact.

 

Les araignées sont-elles dangereuses ?

 

Très peu d’araignées mordent l’homme, et la plupart des espèces présentes dans nos régions en sont « mécaniquement » incapables.

De plus, les araignées ne sont pas agressives et n’attaquent jamais spontanément. Leurs crochets (chélicères) ne leur permettent pas de percer notre peau.

Parmi celles qui réussissent à mordre, la grande majorité des morsures sont des « morsures sèches », sans injection de venin, ou bien la quantité de venin injectée est insuffisante pour causer de réels dangers.

En cas d’envenimation, des nécroses localisées peuvent apparaître, mais la plupart des complications proviennent d’un défaut de désinfection de la plaie et des lésions causées par le grattage.

Les personnes allergiques peuvent développer une réaction violente, pouvant entraîner des complications graves. En cas de réaction allergique, il est essentiel de consulter rapidement un médecin ou de contacter le Samu.

Les araignées pondent-elles sous la peau ?

Il s’agit d’une légende urbaine. Il n’existe aucune araignée parasitaire de l’homme, et leurs organes de ponte ne possèdent aucune structure permettant d’introduire les œufs dans ou sous la peau.

 

 

Acariens – Gale 

 

 

Les acariens sont de petits arachnides, avec plus de 50 000 espèces connues. Ils se caractérisent par une taille modeste, généralement inférieure à 1 mm, à l’exception des tiques, et un corps compact constitué d’une seule masse portant huit pattes.

Contrairement aux araignées, leur mode de vie est très diversifié. Certaines espèces sont phytophages, prédatrices, parasites ou détritivores.

La plupart des acariens vivent dans le sol ou sur des substrats humides où ils jouent un rôle important dans la décomposition et le recyclage de la matière organique.

D’autres, comme les tétranyques, sont des ravageurs de cultures.

Parmi les espèces les plus dérangeantes pour l’homme, on trouve les acariens des maisons. Il s’agit de plusieurs espèces qui se nourrissent de squames, de moisissures ou de microparticules organiques.

Ils sont principalement redoutés pour leur pouvoir allergène. Certaines espèces, comme Acarus et Tyrophagus, infestent les denrées alimentaires (céréales, produits de salaison, etc.), les rendant impropres à la consommation.

Les ectoparasites tels que les acariens des oiseaux et les aoûtats sont redoutés pour leurs morsures.

Les tiques (Ixodes) sont également connues pour leur capacité à transmettre des maladies comme la borréliose de Lyme (maladie de Lyme), qui touche plus de 40 000 personnes par an en France, dont plus de 700 sont hospitalisées.

La gale est une maladie causée par l’acarien Sarcoptes scabei (l’acarien de la gale). Cet acarien endoparasite creuse un sillon dans l’épiderme pour s’y reproduire.

La gale est une maladie contagieuse qui peut affecter toutes les personnes, indépendamment de leur milieu social, de leur âge ou de leur hygiène. L’acarien se transmet principalement par contact direct ou par des literies ou vêtements infestés.

Prévention :

 

Les mesures de prévention varient selon les espèces :

  • Acariens des maisons : Aérer et ventiler les chambres. Aspirer soigneusement la literie, les tapis et les moquettes. Laver le linge à 60°C et repasser à la vapeur.
  • Tiques : Éviter de traverser les hautes herbes. S’inspecter minutieusement après une promenade et se doucher soigneusement. En cas de morsure, retirer la tique rapidement et consulter un médecin.
  • Acariens des denrées : Conserver les produits dans des contenants hermétiques ou au réfrigérateur selon le type de produit, et les placer dans des endroits secs pour éviter toute prolifération.
  • Gale : En cas de suspicion, aspirer soigneusement la literie, les tapis et les moquettes. Laver les vêtements à 60°C, repasser ou passer à la vapeur. Observer les premiers symptômes et consulter un médecin dès leur apparition. Signaler les cas aux écoles ou tout établissement recevant du public.

 

Traitement :

 

Les acariens sont principalement traités par pulvérisation ou nébulisation d’insecticides chimiques ou biologiques à action acaricide dans les zones contaminées.

La literie, les fauteuils et autres surfaces peuvent être traités à la vapeur ou par cryogénie.

 

Nos offres acariens / gale

 

Nos programmes de lutte contre les acariens sont adaptés à leur localisation, à votre environnement, à votre activité et aux exigences spécifiques associées.

Ils sont conçus sur la base d’une analyse approfondie des dangers et des risques (sanitaires, pollution, contamination, détérioration, dégradation, impact sur l’image de marque, etc.), tout en prenant en compte les aspects réglementaires, la sécurité et la santé des personnes, la protection des biens, ainsi que l’environnement et la biodiversité.

Les solutions mises en place répondent pleinement à ces exigences.

Pour toute information, contactez nos filiales via notre formulaire de contact.

Insectes volants

 

Les insectes volants regroupent de nombreuses espèces appartenant à des ordres divers, tels que :

  • Les Diptères (mouches, moucherons, moustiques), reconnaissables par une seule paire d’ailes visibles.
  • Les Hyménoptères (fourmis ailées, Ichneumons, guêpes…).
  • Les Lépidoptères, principalement les petits papillons de nuit (phalènes, noctuelles, pyrales…).
  • Les Coléoptères (dermestides, charançons, chrysomèles…).
  • Les Hétéroptères (punaises).
  • Les Orthoptères (criquets et sauterelles).
  • Les Ephéméroptères et Trichoptères (phryganes)…

La majorité de ces insectes vit et se développe à l’extérieur. Leur présence dans les locaux peut être accidentelle, généralement attirée par la lumière, une source alimentaire ou la recherche d’un abri.

Beaucoup d’entre eux ont un vol limité et proviennent souvent de l’environnement immédiat (quelques centaines de mètres), où ils se développent sur la végétation, dans les eaux stagnantes ou les pâturages.

Bien que présents toute l’année, ces insectes sont plus nombreux du printemps au début de l’automne. La plupart ne présentent aucun danger réel et sont même essentiels à l’équilibre écologique.

Cependant, à l’intérieur des locaux, leur présence peut être gênante, en plus de risquer de polluer des produits ou des denrées alimentaires et d’altérer l’image des lieux accueillant du public.

 

Prévention :

 

La principale source d’attractivité est la lumière artificielle. Il est donc recommandé d’éteindre les lumières lorsque cela n’est pas nécessaire et de fermer les portes et fenêtres.

Lorsque les ouvertures doivent rester ouvertes, comme les portes, fenêtres, évents et aérations, il est conseillé d’installer des moustiquaires avec une maille inférieure à 1 mm.

Il est essentiel de travailler sur l’étanchéité des locaux en obstruant les trous dans les murs, bardages, passages de câbles, tuyaux, chêneaux… Car une mouche peut passer par un trou de serrure !

Limiter l’eau stagnante à proximité (gouttières, toitures, regards, caniveaux, bassins, fossés…).

Maintenir la végétation en périphérie des bâtiments et fermer les locaux de stockage des déchets.

À l’extérieur, encourager l’installation de prédateurs naturels, tels que les oiseaux, les chiroptères (chauves-souris) et autres insectivores.

 

Contrôle et traitement :

 

  • Installation de pièges sélectifs en périphérie des bâtiments (pour quelques espèces spécifiques).
  • Installation et entretien de destructeurs électriques d’insectes volants (DEIV) à l’intérieur des locaux.
  • Pulvérisation d’insecticides biologiques ou chimiques dans les zones de repos des insectes à l’intérieur des locaux.
  • Nébulisation d’insecticides dans les espaces colonisés (combles, faux-plafonds, vides sanitaires…).

Nos offres Insectes volants

 

Nos programmes de lutte contre les insectes volants tiennent compte des espèces ciblées, de votre environnement, de votre activité et des exigences spécifiques associées.

Ils sont élaborés à partir d’une analyse des dangers et des risques (sanitaires, pollution, contamination, détérioration, dégradation, image de marque, etc.), tout en prenant en considération les aspects réglementaires, ainsi que la sécurité et la santé des personnes, la protection des biens, de l’environnement et de la biodiversité.

Les solutions choisies et mises en œuvre répondent de manière complète à ces exigences.

Pour toute information, contactez nos filiales via notre formulaire de contact.

 

Offre DEIV (Destructeur Electrique d’Insectes Volants)

 

AVIpur a sélectionné une gamme d’appareils professionnels adaptés à toutes les situations. De l’accueil du public à la protection des bâtiments industriels, quelle que soit votre activité et la nature des locaux à protéger, nous vous guiderons dans le choix de l’appareil et de sa mise en place.

Le cadre réglementaire, comprenant la directive européenne 2011/65/UE (dite RoHS), la directive sur l’efficacité énergétique, ainsi que la norme ISO 50001, nous a conduits à sélectionner et proposer des appareils modernes et performants équipés de LED.


Les avantages pour vous :

  • Réduction de la consommation électrique de 50 %.
  • Anticipation de l’interdiction des tubes fluorescents et garantie de l’approvisionnement des consommables.
  • Des appareils plus fiables grâce à une durée de vie plus longue que les tubes fluorescents (jusqu’à 3 ans).
  • Conformité à la réglementation tout en adoptant une démarche écoresponsable et sociétale.
  • Maintien d’un niveau d’efficacité équivalent, voire supérieur.

 

Nos offres DEIV

 

Nos appareils et les programmes associés (installation, suivi, entretien, analyse des captures, etc.) sont conçus en tenant compte des espèces ciblées, de votre environnement, de votre activité et des exigences spécifiques qui y sont liées.

Ils sont élaborés sur la base d’une analyse des dangers et des risques (risques sanitaires, pollution, contamination, détérioration, dégradation, image de marque, etc.), tout en prenant en considération les aspects réglementaires, ainsi que la sécurité et la santé des personnes, la protection des biens, de l’environnement et de la biodiversité.

Nous vous accompagnons à chaque étape, du choix à l’entretien des appareils.

Pour toute information, prenez contact avec nos filiales via notre formulaire de contact.

Insectes Rampants

 

 

L’appellation « insectes rampants » regroupe en réalité une multitude d’espèces d’arthropodes appartenant à des taxons et ordres très variés, tels que :

  • Des crustacés, comme les cloportes (crustacés isopodes terrestres)
  • Des myriapodes, tels que les mille-pattes, les iules, les scolopendres et les scutigères
  • Des « vrais » insectes, tels que : 
    • Les coléoptères (par exemple, les carabes comme Ophones), les charançons, les staphylins
    • Les hyménoptères, comme les fourmis
    • Les hétéroptères (punaises), tels que le « gendarme » (Pyrrhocoris)
    • Les orthoptères (criquets, sauterelles, grillons)
    • Les blattes, y compris les espèces champêtres et forestières, les psoques, les collemboles…

La grande majorité de ces insectes vit et se développe à l’extérieur. Leur présence dans les locaux peut être accidentelle ou liée à une attirance pour la lumière, une source alimentaire ou un abri.

Certaines espèces opportunistes peuvent, quant à elles, trouver des conditions et des ressources de substitution, et ainsi s’installer durablement, voire proliférer dans les locaux.

C’est parfois le cas des cloportes, des mille-pattes, ainsi que de certains insectes comme les staphylins, les grillons, les fourmis, les psoques ou les collemboles.

Beaucoup de ces insectes ont une mobilité réduite, se déplacent peu et proviennent de l’environnement immédiat (quelques centaines de mètres), où ils se développent sur la végétation, dans les zones humides, sur la matière en décomposition, les moisissures, dans les pâturages ou en chassant d’autres espèces.

De nombreux insectes sont également introduits de manière passive avec les produits, objets et matériaux.

Ils sont principalement actifs du printemps à l’automne.

La majorité de ces insectes ne présente aucun danger réel et sont même indispensables au milieu naturel.

Toutefois, à l’intérieur des locaux, leur présence peut être dérangeante, gênante, voire répugnante. Ils peuvent polluer des produits et denrées alimentaires, et dégrader l’image des lieux accueillant du public.

Prévention :

 

La principale source d’attractivité pour ces insectes est la lumière artificielle. Il est donc recommandé d’éteindre les lumières lorsqu’elles ne sont pas nécessaires et de fermer les portes et fenêtres.

Lorsque ces dernières doivent rester ouvertes, ainsi que pour toutes les autres ouvertures (évents, aérations, etc.), il est conseillé d’installer des moustiquaires à maille inférieure à 1 mm.

Il est important de travailler l’étanchéité des locaux en bouchant les trous dans les murs, les bardages, les passages de câbles et de tuyaux, les toitures, les bas de portes…

En effet, une fourmi peut passer à travers un trou de moins de 1 mm.

Il convient également de limiter l’eau stagnante et l’humidité (gouttières, toitures, regards, caniveaux, bassins, fossés, etc.), et d’entretenir la végétation autour des bâtiments, en évitant les plantes grimpantes sur les murs.

Il est essentiel de fermer et d’entretenir les locaux de stockage des déchets, de contrôler les introductions de matériaux, denrées et objets, et de nettoyer les bas de murs et les toitures.

À l’extérieur, favoriser l’installation de prédateurs naturels tels que les oiseaux, les mammifères et les reptiles insectivores.

 

Contrôle et traitement :

 

  • Installation de pièges autour des bâtiments, à proximité des points d’intrusion et des voies de circulation.
  • Pulvérisation d’insecticides biologiques ou chimiques aux points d’intrusion, dans les zones de circulation et de repos des insectes à l’intérieur des locaux.
  • Nébulisation d’insecticides dans les espaces colonisés (combles, faux-plafonds, vides sanitaires, etc.).

 

Nos offres Insectes rampants

 

Nos programmes de lutte contre les insectes rampants prennent en compte les espèces concernées, votre environnement, votre activité et les exigences associées.

Ils sont élaborés sur la base d’une analyse des dangers et des risques (risques sanitaires, pollution, contamination, détérioration, dégradation, image de marque, etc.), tout en tenant compte des aspects réglementaires, ainsi que de la sécurité et de la santé des personnes, de la protection des biens, de l’environnement et de la biodiversité.

Les protocoles mis en œuvre combinent différents moyens et répondent ainsi à l’ensemble de ces exigences.

Pour toute information, prenez contact avec nos filiales via notre formulaire de contact.

Insectes du bois

 

Les larves d’insectes xylophages (capricornes, vrillettes, etc.) peuvent gravement endommager vos charpentes et habillages en bois :

  • Fragilisation de la structure
  • Risques pour la sécurité et la longévité de votre habitation

Pour préserver la durabilité et l’intégrité de vos structures en bois, il est essentiel d’agir rapidement !

Le rôle écologique de ces insectes dans le recyclage du bois n’est plus à démontrer, mais leur impact dans les locaux peut être redoutable.

Ils s’attaquent aux charpentes, parquets, huisseries, meubles, objets et bibelots, et peuvent provoquer d’importants dégâts.

Une fois installés, les insectes peuvent nécessiter des moyens considérables pour être éliminés.

C’est pourquoi il est primordial d’identifier leurs traces et d’intervenir rapidement dès l’apparition des premiers signes de présence.

Nos solutions sont certifiées CTBA+ pour le traitement des bois :

  • Pulvérisation préventive et curative
  • Injection des charpentes en bois
  • Application de produits professionnels certifiés CTBP+ pour protéger ou traiter vos bois contre les infestations
  • Traitement ciblé au cœur du bois pour éradiquer les larves et renforcer vos structures

Certification CTBA+

Garantie d’une expertise technique et de produits respectant les normes les plus strictes.

Pour toute information, contactez nos filiales via notre formulaire de contact.

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